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édition

Festival d'art sacré d'Antibes

Musique classique et sacrée

du 23 juillet au 21 Septembre 2025

des lieux patrimoniaux exceptionnels

à l’acoustique choisie par des interprètes, ensembles et orchestres prestigieux

Harmonies pour une cathédrale

Le festival d’art sacré d’Antibes célèbre cette année les 900 ans d’un événement qui aurait eu lieu en 1125, à savoir la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de l’Immaculée Conception d’Antibes, haut lieu du patrimoine de la ville. Pour commémorer cet anniversaire, la tour voisine de la cathédrale s’illuminera d’une couleur dorée tous les soirs pendant la durée du festival du 6 au 21 septembre.

Le programme détaillé

Chants sacrés et polyphonies des Alpes du sud

ENSEMBLE « COROU DE BERRA »
Michel BIANCO, direction
Françoise MARCHETTI
Gwenn MASSEGLIA
Luca PELLEGRINO

Corou de Berra 

Choeur polyphonique mixte issu de la tradition, créé en 1986 et animé par Michel Bianco, le Corou de Berra., après plus de trente-cinq ans d’activité, des centaines de concerts, 13 CD et de nombreuses créations, est devenu la référence en matière de chant polyphonique Alpin. Du chant traditionnel des Alpes de Méditerranée dans sa plus pure expression jusqu’aux créations contemporaines les plus inattendues, les chanteurs en pleine possession de leur culture et de leur art, font vivre dans une liberté artistique unique les expressions vivantes d’un creuset où viennent se fondre des cultures fortes et enracinées qui composent un patrimoine aux authentiques richesses. L’ensemble se compose de Michel Bianco (direction), Gwenn Masseglia, Francoise Marchetti et Luca Pellegrino .

Variations Goldberg de J.S. Bach

Pierre REACH (pianiste)

Au fil des années dans les grandes salles et festivals du monde, Pierre REACH s’est forgé la réputation d’un pianiste d’exception spécialiste des œuvres aussi spectaculaires que les Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach, la transcription lisztienne de la Symphonie Fantastique de Berlioz, la sonate Hammerklavier de Beethoven ou encore la sonate « les quatre âges de la vie » d’Alkan. Pierre REACH est aujourd’hui salué par ses pairs et son public comme un artiste généreux et sensible ouvert aux autres. Révélé au public par un 1er prix au concours international Olivier Messiaen, il s’est lancé aujourd’hui dans l’interprétation de ce gigantesque corpus que constituent les trente-deux sonates de ce compositeur qu’il n’a jamais cessé de fréquenter avec passion et qui représente pour lui un réel aboutissement dans une vie faite de volonté tenace, de travail acharné et d’exigence de perfectionnement toujours plus élevée.

Un récital consacré aux Variations Goldberg constitue une expérience de loin supérieure à tout autre programme, pour l’auditeur, irrésistiblement attiré dans le système de ces trente trois petits mondes que représentent ces variations issues du sublime aria initial et gravitant autour de lui, pour l’interprète également confronté à une écriture complexe, d’une polyphonie infiniment riche et d’une spectaculaire virtuosité. L’œuvre débute par une aria d’une grande simplicité mélodique, d’une douceur crépusculaire, presque timide, qui réapparaîtra à l’issue du long chemin des variations de ce qui a pu s’accomplir. Ces variations qui rayonnent de multiples défis sont écrites dans la tonalité de sol majeur (sauf trois d’entre elles en sol mineur) les canons apparaissant à chaque troisième variation. Sans vouloir entrer dans des détails d’écriture et dans les problèmes techniques (croisements incessants des deux mains sur l’unique clavier du piano, multiplicité des plans sonores), je dirai avant tout le sentiment de joie intense, comme toujours chez Bach, mais aussi la sensation de possession physique du matériau sonore que l’on éprouve à se mesurer à une telle œuvre, unique et source d’un esprit universel. Le privilège de la jouer souvent en concert et de l’avoir enregistrée constitue toujours pour moi un merveilleux recommencement.

Rossini, l’homme pressé

« ROSSINI L’HOMME PRESSE », conférence-concert
Frédéric VITOUX de l’Académie Française, conférencier

Grand prix littéraire Audiberti de la vIlle d’Antibes 2020
Philippe DEPETRIS (flûte) et « Rosetum ensemble » solisti di Nuova Cameristica di Milano
Gabriele Oliveti (violon), Chiara Oliveti (alto), Alberto Drufuca (violoncelle)
Sonates a quattro flûte et cordes de Gioacchino ROSSINI

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Depetris
Vitoux

Frédéric Vitoux est né le 19 août 1944 à Vitry-aux-Loges (Loiret).
Études secondaires à l’école Massillon, puis au lycée Charlemagne à Paris. Inscrit en classe de mathématiques supérieures au lycée Charlemagne après son bac, il préfère préparer le concours d’entrée à l’IDHEC (Institut des hautes études cinématographiques) puis s’orienter vers des études littéraires : licence de lettres à la Sorbonne puis doctorat de 3e cycle, en 1968, avec une thèse consacrée à Louis-Ferdinand Céline — cette même thèse qui, sous une forme remaniée, paraît chez Gallimard au printemps 1973, dans la collection « Les Essais », sous le titre Louis-Ferdinand Céline, Misère et parole. Parallèlement à ses études, il écrit régulièrement dans la revue de cinéma Positif à partir de 1966. En septembre 1973 paraît chez Gallimard son premier roman, Cartes postales. En 1974, il collabore au tout nouveau Quotidien de Paris comme critique littéraire, puis, quatre ans plus tard, rejoint l’équipe rédactionnelle du Nouvel Observateur comme critique littéraire, puis critique cinématographique, et bientôt chroniqueur littéraire spécialisé dans le domaine étranger.
Il a travaillé dans l’édition, comme conseiller littéraire aux éditions Stock dans les années 1970 puis au comité de lecture des éditions Calmann-Lévy jusqu’au début des années 1990. Depuis 1973, a publié régulièrement des romans, en particulier Sérénissime (1990), prix Valery-Larbaud, Charles et Camille (1992), Grand prix du roman de la Ville de Paris, ou La Comédie de Terracina (1994), Grand prix du roman de l’Académie française. Mais aussi des essais : une étude biographique sur Rossini, un ouvrage sur Venise et plusieurs livres consacrés à Céline, notamment Bébert le Chat de Louis-Ferdinand Céline (1976) et La Vie de Céline (1988), bourse Goncourt de la biographie, prix Femina-Vacaresco et prix de la critique de l’Académie française.
Frédéric Vitoux a également écrit le scénario et les dialogues d’une très libre adaptation de Sans Famille, d’Hector Malot, diffusée sur la chaîne de télévision France 2 en décembre 2000, et le scénario d’une non moins libre adaptation de Robinson Crusoé, toujours pour France 2, deux ans plus tard. Il a été élu à l’Académie française le 13 décembre 2001, au fauteuil de Jacques Laurent (15e fauteuil), et reçu le 27 mars 2003 par Michel Déon. Grand mélomane, il est l’auteur de plusieurs ouvrages de référence sur Gioacchino ROSSINI.

Composé de trois solistes, chefs de pupitres de l’ Ensemble instrumental « Nuova Cameristica di Milano» le « Rosetum ensemble » se compose du violoniste Gabriele Oliveti, de l’altiste Chiara Oliveti et du violoncelliste Alberto Drufuca, diplômés du conservatoire Giuseppe Verdi de Milan. Considérés parmi les plus éminents spécialistes de la musique italienne de toutes les époques, Ils sont régulièrement invité à donner de nombreux concerts en Italie, en Europe et à l’étranger, en collaboration avec des solistes de renommée dont Franco Gulli, Arturo Benedetti Michelangeli, Michele Campanella, Cristiano Rossi, Francesca Dego, Natalya Dimitrova, Mario Brunello, Giuliano Carmignola. Il se sont également produits dans les pays de l’Est, au Pakistan, en Thaïlande, en Malaisie, à Singapour, en Indonésie et à Hong Kong. En partenariat avec l’Union Européenne et la Région Lombardie et en collaboration avec le ministère italien du Travail, l’ensemble est chargé au Conservatoire Giuseppe Verdi de Milan d’une formation d’orchestre de chambre pour les jeunes instrumentistes.

Artiste passionné et homme de culture, PHILIPPE DEPETRIS est l’un des flûtistes français les plus appréciés de sa génération. Son parcours riche d’étapes nombreuses et souvent prestigieuses, a façonné un humaniste à l’écoute de ses contemporains autant qu’un artiste amoureux d’une esthétique musicale qui ne sacrifie jamais la qualité à la superficialité. A travers sa carrière personnelle, ses centaines de concerts, ses enregistrements et son enseignement mais aussi à travers les festivals et manifestations qu’il a créé et qu’il anime depuis plus de 30 ans, il va passionnément à la rencontre de dizaines de milliers de mélomanes.. Créateur reconnu d’événements de qualité dans le domaine de la musique, partenaire de musiciens et d’orchestres qui figurent régulièrement en haut de l’affiche, Philippe Depetris est motivé au-delà de tout par la capacité d’échanges que suscite l’ensemble de ses activités. Son enthousiasme et son talent lui permettent de vivre la musique comme une fête, comme une émotion que l’on partage sans réserve. C’est l’engagement essentiel de cet artiste atypique qui a pour ambition de désacraliser la musique classique pour en éviter la marginalisation. Il est le directeur artistique fondateur des Soirées Musicales de l’Abbaye Royale de la Celle qui ont fêté en 2023 leur 30ème anniversaire, du Festival d’art sacré d’Antibes et des Soirées Musicales des Templiers de Saint-Raphaël qu’il a animé pendant 27 années. Alain Benedetto maire de Grimaud lui a confié la direction artistique des Soirées Musicales de Grimaud qui entrent dans leur 23ème saison. Il vient d’être nommé conseiller artistique du festival Notre-Dame de Vie de Mougins.

À force d’être heureux à la Scala, j’étais devenu une espèce de connaisseur », disait Stendhal. Serais-je devenu à mon tour « une espèce de connaisseur », à force d’être heureux à l’écoute de Rossini, auprès de Rossini, de cet homme si pressé de vivre, de rire, de composer, de réussir, de ne pas se prendre au sérieux mais de prendre en revanche très au sérieux la musique, au point de marquer l’histoire de l’opéra italien et de la musique d’une empreinte décisive, dans le premier tiers du XIXe siècle.

Les Quatre-Saisons et concerti d’Antonio Vivaldi

Théotime Langlois de Swarte, violon et direction

Ensemble « Le Consort »

« Le Consort » formé à Paris en 2015 à l’initiative des violonistes Théotime Langlois de Swarte et Sophie de Bardonnèche et du claveciniste Justin Taylor, est un ensemble dédié à la musique baroque, et plus particulièrement au genre de la sonate en trio. Il interprète avec enthousiasme, sincérité et modernité un répertoire intensément travaillé, joué et enregistré. Le Consort apporte à la musique de chambre à l’époque baroque, une interprétation personnelle, dynamique et colorée. Constitué à l’origine de deux violons, d’un violoncelle et d’un clavecin, « Le Consort » a déjà développé de nombreux projets et collaborations et est considéré comme « l’un des acteurs majeurs de la scène baroque française » (Diapason, octobre 2019). L’essor des carrières solistes de ses fondateurs amène « Le Consort » à se développer et à s’épanouir dans des formes plus importantes, pour des projets de concertos pour violon ou d’opéra. Forts de leur expérience et de leur passion pour la musique de chambre, les interprètes mettent au service de leurs interprétations les réflexes musicaux chambristes qui irradient ainsi l’ensemble de l’orchestre élargissant à toute la formation une rare cohésion acquise en petit ensemble.
Issu de la jeune génération baroque, Théotime Langlois de Swarte s’affirme comme l’un des violonistes virtuoses les plus prometteurs de sa génération au plan international et développe également avec bonheur une activité de chef d’orchestre. Son répertoire s’étend du XVIIe siècle jusqu’à la création contemporaine, dans une recherche de sincérité enrichie par le jeu sur instruments d’époque. Récitaliste et chambriste chevronné, il s’est déjà produit dans le monde entier dans des salles prestigieuses. Passionné par la direction d’orchestre il a été fortement inspiré par William Christie, dont il a expérimenté le fascinant travail avec les chanteurs et l’orchestre et le son développé par les Arts Florissants qu’il a intégré comme musicien junior avant d’en devenir l’un des membres permanents. Il est notamment apparu au pupitre de l’Opéra-Comique de Paris.

Les quatre-saisons » ont toujours exercé sur moi une fascination profonde. Leur écoute obsessionnelle durant mon enfance a éveillé en moi le désir de devenir violoniste et m'a poussé vers le violon baroque, emporté par l'énergie communicative d'une partition à la fois narrative, descriptive et empirique. L'œuvre dégage une joie viscérale, où les interactions dramatiques entre les instruments s'entrelacent dans un tourbillon d'éclats, d'impétuosité, de sensualité et de séduction, formant un paysage sonore riche et harmonieux. Je suis bien conscient que beaucoup de choses ont été dites au sujet d'une des compositions les plus jouées et reconnaissables de la musique occidentale ; s'y confronter en cette année de tricentenaire de leur publication nous invite à réinterroger notre relation à l'œuvre, à explorer ses multiples facettes. Contrairement à une opinion relativement répandue, rien chez Vivaldi n'est superficiel : la forme cyclique des Quatre Saisons nous engage dans une réflexion sur le temps, qu'il s'agisse du temps de la nature ou de notre propre existence. Côté nature, il est bien connu que les sonnets rédigés par le compositeur pour accompagner chaque saison (fêtes villageoises, chasse, chant des oiseaux, scènes pastorales, orages et autres perturbations climatiques) s'inscrivent dans une tradition et une pratique violonistique visant à des fins d'illustration, voire d'imitation de l'environnement sonore. Du côté de notre propre existence, l'ouvrage développe une métaphore de la vie elle-même, s'organisant autour de tonalités à la symbolique forte : mi majeur pour la naissance, fa mineur pour la mort. Le deuxième mouvement de L'Hiver (Alors que la pluie, dehors, verse à torrents"), en mi bémol majeur - tonalité à trois bémols associée à la dévotion et à la prière selon Mattheson -, nous amène ainsi vers l'image d'un dialogue avec Dieu ou avec la mort. En nous renvoyant constamment à notre vie, avec ses péripéties, ses joies, les quatre concertos déploient une véritable dimension spirituelle, proposent un voyage métaphysique entre finitude et infinitude. La Primavera, ou l'idée d'un éternel recommencement, d'un frémissement renouvelé comme l'est chaque naissance.

Requiem de Gabriel Fauré

ENSEMBLE VOCAL « LA SESTINA » – Stéphan NICOLAY, direction
ENSEMBLE VOCAL « GYPTIS » – Bénédicte PEREIRA, direction
Bénédicte PEREIRA, soprano Aaron AMBEAU, baryton-basse

Orchestre national de Cannes
Arie van Beek, direction | Bénédicte PEREIRA, soprano | Aaron AMBEAU, baryton-basse

Depuis plus de 40 ans, l’Orchestre national de Cannes sillonne les routes de France toujours avec le même enthousiasme grâce à ses fidèles partenaires que sont la Ville de Cannes, le Ministère de la Culture, le Département des Alpes-Maritimes, la Région Sud, les entreprises mécènes membres du club Andantino et l’association des Amis de l’Orchestre. Chaque saison, il propose plus d’une centaine de concerts. Fondé en 1975, l’Orchestre, qui a reçu en 2005 une Victoire d’honneur pour l’ensemble de son travail, est dirigé depuis 2016 par Benjamin Levy. Il est labellisé « Orchestre National » depuis janvier 2022.

Arie Van Beek

Arie Van Beek est né à Rotterdam. Percussionniste dans les orchestres radiophoniques aux Pays-Bas il s’oriente vers la direction d’orchestre. Après avoir été le directeur musical de l’Orchestre d’Auvergne de 1994 à 2011, il a été jusqu’en Juillet 2022 directeur musical de l’Orchestre de Picardie et de l’Orchestre de Chambre de Genève de 2013 à 2022. Il était par ailleurs chef d’orchestre en résidence au Doelen Ensemble à Rotterdam. De la musique baroque aux oeuvres du XXIè siècle, son répertoire ne connait pas de frontières. Chef d’expérience et de talent il est invité par de nombreux orchestres dans le monde.

Ensemble vocal « La Sestina » (direction Stéphan Nicolay)

Fondé en 1999, la Sestina est un ensemble vocal très investi dans le répertoire a cappella.  L’ensemble dirigé depuis 2004 par Stéphan Nicolay s’ouvre à des esthétiques nouvelles : mises en espace, concerts pluridisciplinaires mêlant danse, exposition, mise en lumière, etc. Son axe de travail se situe dans la recherche d’une singularité, tant au niveau du répertoire (préférence pour des oeuvres peu ou pas jouées), qu’au niveau de la forme (concerts à thème, concerts sensoriels ou sous une forme non conventionnelle), avec toujours dans l’idée de faire découvrir ou de partager des expériences avec le public, en conciliant plaisir mutuel et exigence musicale.

Ensemble vocal « Gyptis » (direction Bénédicte Pereira)

Créé en 2017 à Marseille, Gyptis est un ensemble vocal mixte de vingt et un chanteurs. Dirigé par Bénédicte Pereira, chef de chœur et artiste lyrique, il aborde un répertoire sacré et profane, des origines médiévales de la musique occidentale à nos jours.

Les plus beaux Ave Maria pour choeur d’enfants

Direction : Samuel Coquard
Concert donné dans le cadre de la commémoration des 900 ans de la reconstruction de la cathédrale d’Antibes.

La Maîtrise des Bouches-du-Rhône, créée en 1994 par le département des Bouches-du-Rhône, le ministère de l’Education Nationale et le ministère de la Culture, est une formation vocale prestigieuse et innovante. Résidant au collège André Malraux à Marseille, elle offre aux enfants une scolarité aménagée, alternant entre répétitions de chœur, cours de chant individuels et formation musicale théorique. Sous la direction de Samuel Coquard depuis 2002, la Maîtrise constitue un pôle d’art vocal de haut niveau.
Ce programme prestigieux met en lumière et en miroir les plus belles pages de musique sacrée pour chœur d’enfants, soulignant l’excellence et la finesse artistique de la Maîtrise des Bouches-du-Rhône. Sous la direction de Samuel Coquard, l’un des meilleurs chefs de chœur de sa génération, se révèle toute la richesse et la beauté de ce répertoire sacré, offrant toutes les émotions des plus beaux Ave Maria pour chœur d’enfants. Riche en diversité et en émotions, ce programme traverse les siècles. De Jean-Sébastien Bach et Antonio Vivaldi et leurs « Magnificat » en passant par Jehan Alain, les célébres Litanies à la Vierge noire de Francis Poulenc et le Regina Caeli de Mel Bonis, le Maria Mater gratiae  de Gabriel Fauré et Josef Rheinberger et le Regina Caeli de Josef Rheinberger, il s’achève par une bouleversante réinterprétation de l’Ave Maria de Schubert.

Les chants des Basques, Euskaldunak kantuz

Jordi FREIXA, direction
.Chants sacrés et profanes du pays Basque

Choeur d’hommes Otxote de Bayonne Côte Basque
Direction Jordi FREIXA

Dirigé par Jordi Freixa, le Choeur Bayonne Pays Basque a été créé à la fin de l’année 2022. Seul choeur professionnel dédié exclusivement au rayonnement et au développement de la musique vocale basque, cet ensemble est une singularité à l’échelle des trois provinces basques de France et des quatre provinces basques d’Espagne. Au pays basque, le chant est présent dans tous les moments de la vie. On chante partout et en toutes occasions. À travers ces chants traditionnels et typiques qui constituent de véritables joyaux d’oralité, ce sont toutes les émotions d’une culture profondément enracinée dans son terroir qui se déploient depuis des générations à l’aune d’une nouvelle modernité. Spécialiste de la musique populaire basque (connaissances couronnées par un doctorat en musicologie), Jordi Freixa créé l’Otxote Lurra, un ensemble masculin professionnel constitué de huit chanteurs formés à l’art lyrique. Entre 2000 et 2015, cet ensemble a donné quelque 1 500 concerts en Europe révélant à de nombreux publics la richesse du répertoire choral basque interprété par un choeur d’excellence. Il se consacre désormais à ce nouveau chœur ainsi qu’au développement du chant choral amateur dans sa région.
Renseignements et réservations

Office du Tourisme d’Antibes Juan-les-Pins 1er étage du palais des Congrès, 60 chemin des Sables à Juan-les-Pins
Place Guynemer, centre ville d’Antibes

Téléphone : 04 22 10 60 01  / 04 22 10 60 10

Informations importantes

* Tarif réduit : 16,20 € sur présentation d’un justificatif (jeunes -18 ans, étudiants, demandeurs d’emploi, PMR et personnes en fauteuil roulant) pour les concerts des 12, 14, 19 et 21 septembre.
Pour les concerts des 16 et 18 septembre : tarif unique à 41,20€.
Un tarif réduit à 16,20€ s’appliquera uniquement aux places non numérotées avec visibilité partielle ou pas de visibilité, qui seront mises en vente une fois les places numérotées à 41,20€ épuisées.
Majoration de 1€ pour tous les billets vendus par Internet.

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•  Cathédrale : vieille ville, sur les remparts, à côté du Musée Picasso.
• Chapelle Saint-Bernardin : 21 rue Rostan, vieille ville.
• Chapelle de la Garoupe : Cap d’Antibes, à côté du phare.
• Chapelle Saint-Jean : rond point de Saint Jean.